19 février 2022 : Non au projet Vivaldi, oui à l'Ile Seguin, îlot de fraîcheur indispensable
Merci à toutes et à tous pour vos contributions sur le site de l'enquête publique relative au projet de bureaux de Bouygues immobilier, dit Vivaldi, sur la partie centrale de l’île.
Cette consultation se termine ce soir à 19h, nous attendons dans les jours à venir la décision du maire de Boulogne-Billancourt. Cette décision sera sur le site de l'enquête publique, vous pourrez donc bien entendu la consullter.
En attendant le Collectif" Vue sur l'Ile Seguin" vous offre ces photos ci-dessous, photos prises lors d'une visite sur l'Ile Seguin en 2013.
Elles nous donnent de l'espoir face à l'urgence climatique.
"Les îles de la Seine jouent un rôle clé dans la régulation du climat urbain"
19 novembre 2020 article de Sybille Vincendon
Cliquez ici pour signer notre pétition : Créez une île verte à Paris
9 février 2022 : contribution du Collectif relative au projet Vivaldi
Contribution du Collectif « Vue sur l’Ile Seguin » relative au projet de bureaux de Bouygues immobilier, dit Vivaldi, sur la partie centrale de l’île
(consultation du public par voie électronique en février 2022)
Vous pouvez prendre ce texte tel quel ou en partie (copier-coller sur un document word) ou l'annexer en pièce-jointe à votre contribution
L'intégralité de ce texte se trouve en pièce-jointe en format PDF dans les observations de la consultation, à la contribution n° 218
cliquez-ici pour la télécharger n°218
La forme de la consultation
Avec la consultation électronique de 2022, la commune de Boulogne-Billancourt innove une nouvelle fois. Après le faux référendum municipal électronique de 2012 pour choisir entre trois sortes de bétonnage sévère de l’île (procédure n’ayant respecté aucune des formes prévues par le code général des collectivités territoriales), une communication intense avait tenté de faire croire que les Boulonnais tenaient par-dessus tout à l’érection d’une tour sur l’île. En 2022, le projet soumis à consultation ne comprend plus aucune tour mais gageons que, sans attendre les contributions, l’exploitation médiatique intensive de l’enthousiasme du public pour cet énième projet, attentatoire à l’Ile verte et très insuffisamment préparé, doit déjà être conçue.
En 2012 comme en 2022, il est à souligner que le recours au numérique ôte tout sérieux à ces consultations. Certes, le sérieux n’a jamais caractérisé le bétonnage de l’île au mépris de la santé humaine, de la biodiversité et des paysages alors que chacun des projets envisagés, de 2008 à 2022, a commencé par être présenté, mais durant quelques temps seulement, comme le seul, l’unique, le totalement incontournable à édifier d’urgence.
Toujours est-il que, avec ces consultations numériques improvisées, il est impossible de savoir si les participants sont exclusivement des habitants de l’intercommunalité Grand Paris Seine-ouest (G.P.S.O.), combien de contribution chaque personne adresse, etc… et que, contrairement à toute attente, les contributions, loin de demeurer définitivement sur le site de la commune de Boulogne-Billancourt, sont effacées dans l’heure de la clôture de la consultation.
Le fond du projet de bureaux de Bouygues, dit projet Vivaldi
Depuis 2011, le Collectif « Vue sur l’Ile Seguin » soutient que tout aménagement de l’Ile Seguin doit respecter le cadre paysager unique dans lequel elle s’inscrit, qu’elle doit être végétalisée au maximum pour être pleinement l’Ile verte, un îlot de fraîcheur d’amplitude indispensable à la santé des habitants de l’Ile-de-France en quête d’un air respirable. Alors que, sur les axes de circulation voisins déjà saturés, un surcroît de trafic lié à de nouveaux et totalement inutiles bureaux (4 000 000 m2 de bureaux actuellement disponibles en Ile-de-France, sur 54,5 millions de m2 –en 2019, d’après l’étude Immostat de juillet 2021) viendrait compromettre à tout jamais la qualité de l’air.
Par son avis en date du 16 décembre 2022 (N°MRAe 2021-1755), portant sur la qualité de l’évaluation environnementale et sur la prise en compte de l’environnement (notion incluant la santé humaine) par le projet Vivaldi, la Mission régionale d’autorité environnementale d’Ile-de-France a relevé les multiples insuffisances de ce projet hâtivement présenté et insuffisamment justifié en dépit de dix années de brouillons successifs très sérieusement contestés en détail dans plusieurs recours encore en instance de jugement (2013, 2016, 2018 et 2021).
Depuis 2011, le Collectif a déjà articulé maintes fois nombre de critiques de bon sens analogues aux observations de la MRAe du mois de décembre 2021 auxquelles il souscrit sans réserves. Pour s’en tenir aux actuelles recommandations de la MRAe reprise par le Collectif l’aménagement de la partie centrale de l’Ile Seguin devrait :
1) être précédé d’une ACTUALISATION DE L’ÉTUDE D’IMPACT DE LA ZONE D’AMÉNAGEMENT CONCERTÉ (Z.A.C.) SEGUIN-RIVES DE SEINE ET D’UNE ÉTUDE D’IMPACT ÉLARGIE RELATIVE A L’ILE (pages 8, 9 et 11 de l’avis du 16 décembre 2022) en appréciant le projet de berge à berge ;
2) présenter, au sein des études d’impact, les modalités d’association du public et le contenu des échanges avec celui-ci (page 10) ;
3) s’inscrire dans l’ensemble de la Z.A.C. Seguin-Rives de Seine qui, elle-même, doit respecter le paysage et TOUS les sites et monuments inscrits ou classés l’environnant sans omettre la terrasse de l’ancien château de Bellevue, le talus de Bellevue, le Collège arménien et la Manufacture des cristaux de la Reine (page 17) ;
4) garantir le respect de la transition visuelle entre le secteur fortement urbanisé de Boulogne-Billancourt et le coteau boisé de Sèvres et de Meudon grâce en particulier au développement optimal d’arbres de haute tige, aléatoire en l’absence de pleine terre (page 17) ;
5) analyser les raisons ayant entraîné une perte de la biodiversité depuis 2019 se traduisant en particulier par la disparition d’espèces à forts enjeux (hérisson d’Europe, serin cini, grillon d’Italie, phanéroptère méridional, criquet des pâtures) présentes grâce au jardin éphémère de 23 000 m2 aujourd’hui disparu qui « a incarné la notion de trame verte et bleue et la notion de renforcement des continuités » et qui a joué le « rôle d’espace relais pour les espèces pionnières (œdipode turquoise) et d’espace de repos pour les espèces en transit (avifaune notamment), que l’aménagement de la partie centrale risque d’altérer » (pages 2 et 15) ; alors que, à l’inverse, le projet affiche l’ambition d’améliorer la biodiversité (page 35), la vérification du bien-fondé de cette assertion dépend directement de la date de référence retenue ;
6) identifier dans le dossier l’enjeu présenté par le corridor alluvial constitué par la Seine, zone de propagation des espèces volantes (odonates tels que les libellules), (page 15) ;
7) annexer au projet présenté toutes les études et dans leur dernière version (études faune-flore et celle sur l’albédo non jointes ; dernières versions des études des sols, du diagnostic environnemental des sols, incluant des mesures d’évitement, de réduction et de compensation et la mise en place d’un dispositif de suivi), (pages 10, 13 et 16) ;
8) INTÉGRER TOUS LES ESPACES PUBLICS AU PROJET FAUTE DE QUOI IL EST IMPOSSIBLE DE SAISIR LA COHÉRENCE DU PROJET GLOBAL (page 10) ; au-delà des bâtiments, la présentation du projet doit inclure les espaces voisins (jardin public, berges, circulations, etc.) (page 6) ;
9) indiquer l’articulation entre le planning de la construction des bureaux et celui de l’aménagement du jardin public et des espaces (esplanades, berges) (page 8) ; sans cela, il est IMPOSSIBLE D’ACQUÉRIR UNE VISION GLOBALE DU PROJET AU SENS ENVIRONNEMENTAL (page 8) ;
10) réaliser le jardin public AVANT la construction des immeubles afin de permettre à la faune existante de s’y installer (page 16) et créer un jardin – de 15 000 m2 seulement – qui soit davantage qu’« une simple pelouse arborée, difficilement accessible et très en pente » (page 17) ;
11) présenter les conditions de fonctionnement du site en phase d’exploitation en cas d’inondation (page 14) ; le projet se situant au cœur du lit de la Seine « dans une zone de crue extrême » et étant « au contact immédiat d’une nappe affleurante, le risque d’inondation par remontée de nappe est donc présent (aléa très élevé) » ;
12) présenter un diagnostic de vulnérabilité aux crues, un plan de continuité des activités, notamment de celles considérées comme stratégiques au niveau national, et une procédure d’évacuation en fonction des niveaux atteints par la crue (page 14) ;
13) « PRÉSENTER DES SOLUTIONS DE SUBSTITUTION RAISONNABLES au regard des enjeux environnementaux sur le site, du cadre de vie des habitants du secteur et des impératifs de sobriété énergétique, afin de MONTRER EN QUOI CE PROJET CORRESPOND AU CHOIX DE LA SOLUTION OPTIMALE ET DE MOINDRE IMPACT » (page 12) ;
14) mieux étayer la présentation de la renaturation des berges de la Seine en justifiant son respect du S.D.R.I.F. et du P.L.U. (page 11) ;
15) mieux étayer la présentation du renforcement des continuités écologiques en justifiant son respect du S.D.R.I.F. et du P.L.U. (page 11) ;
16) préciser les épaisseurs de terre des surfaces végétalisées prévues en terrasses et en toitures, la hauteur de développement des végétaux prévue à terme, le volume réel disponible pour le système racinaire, la prise au vent, l’exposition solaire et les apports en eau (page 15) ; 17) préciser les possibilités de plantation d’arbres – un plan et des coupes permettraient d’en rendre compte (page 15) ;
18) développer, dans l’étude d’impact, les aspects qualitatifs de la végétation notamment sa capacité à augmenter de manière significative la biodiversité (page 16) ;
19) prévoir, à intervalles réguliers, un suivi de la biodiversité par un écologue afin de s’assurer de la réalité du renforcement annoncé des continuités écologiques (page 16) ;
20) mentionner les capacités d’absorption des eaux de pluie par les surfaces végétalisées page 16) ;
21) mieux aborder l’effet d’îlot de fraîcheur urbain attendu en l’évaluant (page 16) ; en réalité, le projet n’évoque l’effet d’îlot de fraîcheur que comme un procédé d’atténuation des effets de l’important îlot de chaleur que les constructions provoqueront ; il tait la destruction de l’îlot de fraicheur de neuf hectares qui est le véritable état initial de l’île (page 16) ;
22) justifier l’absence de mixité programmatique du projet à dominante bureaux très marquée alors que la commune de Boulogne-Billancourt accuse un déficit de logements locatifs sociaux, que la réversibilité des bureaux prévus n’est pas retranscrite dans l’étude d’impact et que la crise sanitaire a modifié le contexte (pages 11, 12 et 13) ;
23) justifier le projet au regard des besoins en bureaux (page 2) et actualiser l’étude de marché réalisée par JLL en 2020 à un moment où toutes les conséquences du confinement n’étaient pas encore perceptibles (page 12 et 13) ;
24) permettre d’apprécier l’impact volumétrique des bâtiments en présentant des vues réciproques nord-sud, avant/après projet, notamment des vues du paysage perçu à hauteur d’homme de part et d’autre de la Seine (pages 2,17 et 18) ;
25) mieux illustrer et démontrer la recherche de l’effacement de « l’effet de front bâti » (page 12) ;
26) présenter clairement les gabarits des immeubles et les surfaces de plancher (page 8) ;
27) présenter l’aménagement et la gestion du jardin public afin d’apprécier la disponibilité d’espaces verts pour les habitants de l’intercommunalité (pages 8 et 16) ;
28) produire une étude stratégique complète, actualisée et approfondie sur les mobilités englobant tous les modes de déplacement et justifiant les estimations de flux notamment sur les axes routiers actuels déjà fortement congestionnés ( RN 118, RD 1, RD 7), (pages 2, 19, 20 et 21) ;
29) produire une étude approfondie sur la circulation et le stationnmeent sur l’île (page 20) ; en effet, les incantations relatives à « des mobilités douces » et la pétition de principe affirmant l’absence de circulation routière sur l’île et la restriction du stationnement sur celle-ci, loin d’y limiter en proportion le recours aux véhicules risquent d’en reporter la circulation comme le stationnement sur les rives de la Seine.
Le Collectif « Vue sur l’Ile Seguin », le 8 février 2022
3 Février 2022 : Lancement de la consultation publique, nouveaux permis de Bouygues !
19 juin 2021 : Un nouveau recours contentieux sur l'Ile Seguin - L' arrêté préfectoral au titre de la loi sur l'eau est-il légal ?
Vous qui nous suivez sur notre site internet Actualités - ou notre pétition « Créez une île verte à Paris ! » cliquez-ici
Le Collectif Vue sur l’Ile Seguin, seul, vient de déposer avec son avocat Me Corinne LEPAGE, un recours contentieux contre l’arrêté préfectoral au titre de la loi sur l’eau*
Quels sont les enjeux de cet arrêté ?
Autoriser l’aménagement de la ZAC-Rives de Seine dont l’Ile Seguin fait partie, et où en 2020, deux permis de construire des bureuax ont été accordés pour un projet de 130 000 m2 de béton, dont une tour dans l'axe des perspectives protégées.
Pourquoi le Collectif a choisi à nouveau de déposer un recours contentieux ?
Ce projet a des enjeux environnementaux importants à savoir :
- la qualité des sols, la gestion des déblais et la topographie ;
- le risque d’inondation, la gestion de l’eau et les milieux aquatiques ;
- la densification de la trame naturelle et la disponibilité en espaces verts ;
- la qualité de l’espace public et l’insertion paysagère des constructions ;
- les conditions de circulation et le cadre de vie;
« La ZAC Seguin-Rives de Seine est l’un des plus grands projets d’aménagement d’Ile-de-France », « l’Ile Seguin est située juste en aval de l’Ile Saint-Germain, entre Boulogne-Billancourt, sur sa rive droite, et Sèvres et Meudon sur sa rive gauche. Elle se situe au cœur de la Vallée de la culture et du Grand-Paris »
Le Collectif poursuit depuis 2011, depuis dix années, son inlassable action en faveur d’une île verte, îlot de fraîcheur vital. Vous êtes 53 000 signataires à nous soutenir, n’hésitez pas à relayer notre pétition.
Bien cordialement
Le Collectif de riverains de Meudon et Boulogne-Billancourt.
* "La décision implicite de rejet du 16 avril 2021 née du silence du Préfet des Hauts-de-Seine au recours gracieux du Collectif « Vue sur l’Ile Seguin » en date du 15 février 2021 demandant le retrait de l’arrêté préfectoral n° 2020-184 du 17 décembre 2020 portant renouvellement de l’autorisation d’aménagement de la ZAC « Seguin – Rives de Seine » au titre de la loi sur l’eau et les milieux aquatiques (autorisation environnementale) sur les communes de Boulogne-Billancourt et de Meudon et abrogeant et remplaçant l’arrêté préfectoral n° 2009-108 modifié ; ensemble l’arrêté préfectoral n° 2020-184 en date du 17 décembre 2020 et l’arrêté préfectoral n° 2021-40 du 9 avril 2021 modifiant l’arrêté préfectoral n° 2020-18"
Le consortium DBS est débarqué de l'Ile Seguin 19 Avril 2021
Extrait article "Cadre de Ville"
*Les deux lots promis à occuper la partie centrale de l'île en y développant 130 000 m² ne sont plus sous promesse de vente entre la SPL Val de Seine* Aménagement et le groupement de promoteurs DBS (Hines, Icade et Vinci).
Le maire de Boulogne-Billancourt, Pierre-Christophe Baguet, a annoncé aux élus en bureau municipal n'avoir pas prolongé la promesse de vente arrivée à échéance mi-mars.
Et s'être retourné vers Bouygues qui garantirait avoir trouvé des investisseurs. Le projet porté par le groupement DBS (Hines, Icade et Vinci Immobilier) - un casting de rêve - six emprises avaient été confiées aux agences d'architecture Sou Fujimoto, Richard Rogers, Franklin Azzi, Chartier Dalix, XTU et Christian de Portzamparc qui est également l'architecte coordonnateur de l'ensemble immobilier de la partie centrale
Les permis de construire de 130 000 m² divisés en deux lots ont été obtenus en novembre 2020 après une enquête publique pendant l'été, et font actuellement l'objet de recours. Déposés par le groupement DBS, qui a recruté en 2020 comme DG un aménageur expérimenté en la personne de Jean-François Gueulette, ancien directeur de la Semapa, ils seraient repris par le groupe Bouygues.
Cependant, à la pointe amont de l'île, les lots S16, S17 et S18 ont été cédés au groupe Emerige depuis 2018, et les permis de construiredes bâtiments conçues par les architectes catalans de RCR avec Baumschlager Eberlé obtenus et purgés. Ces projets vont devoir attendre que la programmation du centre de l'île soit stabilisée…
En effet, Pierre-Christophe Baguet a annoncé en conseil municipal de Boulogne-Billancourt, jeudi 15 avril, avoir décidé de ne pas prolonger la promesse de vente conclue avec DBS, arrivée à échéance fmi-mars. « Nous sommes en discussion pour signer avec le groupe Bouygues la reprise de ces lots », a-t-il précisé. Son premier adjoint, en charge de l'urbanisme, Gauthier Mougin, aurait annoncé pour sûr l'accord avec le groupe Bouygues, selon les informations recueillies par Cadre de Ville.....
L' île Seguin dans la campagne des éléctions régionales ! Mars 2021
Lire la suite : cliquez-ici
Visite, déclaration et soutien de Stéphane Bern - 10 février 2021
En 2021, " Laissez-moi respirer ! "
Soutien et signatures de Stéphane Bern, Nicolas Hulot, Dominique Bourg, Allain Bougrain-Dubourg ....
Ci-dessous maquette du projet DBS présenté au Collectif mars 2021 et le projet alternatif du Collectif "Vue sur l'île Seguin" : une île verte !
Le Collectif et une soixantaine d'associations : "l'Ile Seguin, un îlot de fraicheur vital à préserver"
« L’Etat a le pouvoir et le devoir de refuser l’autorisation environnementale ! Tel est le verrou à actionner pour préserver à la fois la santé publique et l’environnement, grâce au respect de l’île Seguin et de ses abords. » extrait de la déclaration île Seguin
En 2020, l’aménagement de l’Ile Seguin constitue un enjeu métropolitain de santé publique et d'environnement !
Lettres à deux ministres - Octobre 2020
"Après avoir tiré ensemble, le 21 septembre 2020, les leçons de leurs contributions respectives aux trois enquêtes publiques récemment closes sur le plus beau méandre de la Seine autour de l’Ile Seguin, une soixantaine d'associations et le collectif « Vue sur l’Ile Seguin » s’unissent pour vous demander de sauver cette île emblématique en refusant d’accorder l’autorisation environnementale à sa bétonisation." lire la suite ici
Les articles de presse
Le Figaro 12 février 2021
Le Parisien 11 février 2021
Sortir à Paris le 5 novembre 2020
Libération du 31 octobre 2020
Le Parisien du 28 octobre 2020
La revue politique et parlementaire du 25 aout 2020
Le Monde du 7 septembre 2020
Quel avenir pour l'Ile Seguin en 2020 !
- un espace de respiration pour les Franciliens
- un îlot de fraicheur dans une des plus belles boucles de la Seine
- une île verte pour la santé de tous et de la métropole
Si ce projet vous semble urgent, utile,et un avenir pour vos enfants : C'est maintenant en 2020, votre choix compte
Signez notre pétition "Créez une île verte à Paris ! " sur mes opinions.com
Alerte rouge sur l'Ile Seguin et ses environs
Eté 2020. Ile verte : Alerte rouge !
L'Ile seguin est menacée par un acte de vandalisme environnemental aux conséquences irrémédiables ! Trois enquêtes publiques estivales, menées à Boulogne-Billancourt et à Meudon, risquent de sceller son sort pendant les vacances (www.boulognebillancourt.com)
Le Collectif Vue sur l'Ile Seguin a demandé le report de ces trois consultations semi-clandestine et, à tout le moins, la prolongation de leur durée.
Pour prendre connaissance de notre dernière contribution : n°271 et 272 dans enquête publique partie centrale Ile Seguin (enquete fermée le 2 septembre 2020)
Pour lire la suite et participer aux 3 enquêtes publiques, le collectif "Vue sur l'Ile Seguin" vous propose de faire vôtre tout ou partie des trois observations suggérées :
Soutenez le projet alternatif
Le Collectif résiste toujours et encore à la bétonneuse, il propose un projet alternatif d'envergure pour sauver l'Ile des projets d'urbanisation, et préserver un paysage dans une des plus belles boucles de la Seine... c'est maintenant qu'il faut sauver l'Ile Seguin en proie aux rêves des bétonneurs - lire la suite
"L’Amazonie commence à Paris ! Alerte rouge sur l’Ile verte – l’Ile Seguin – menacée d’un acte de vandalisme environnemental irrémédiable ! Un grand projet présidentiel peut la sauver"
voir aussi la revue de presse : nouvel article du 27 novembre 2018 cliquez-ici
Le recours contre le Plan Local d'Urbanisme 2018 est en cours d'instruction
Le Plan Local d'Urbanisme de 2018 de Boulogne-Billancourt a été attaqué en 2019 devant le tribunal de Cergy-Pontoise pour les mêmes raisons que celles soulevées dans les recours contentieux de 2013 et 2016.
Le Collectif a confié la charge de ce recours à Me Corinne LEPAGE.
Le contentieux, Lire la suite :
L'enquête publique sur le PLU 2018 de Boulogne-Billancourt :
Notre contribution à l'enquête publique sur le PLU de la commune de Boulogne-Billancourt, contribution du Collectif déposée, le 4 avril 2018.
Qui sommes-nous ?
Le Collectif rassemble un groupe de riverains de Meudon et de Boulogne-Billancourt, auquel vous pouvez écrire à l’adresse suivante : collectifvuesurileseguin@orange.fr
Le Collectif a été créé le 19 février 2011 en réaction à l’érection de la tour Horizon de Jean Nouvel - sous couvert des nouvelles dispositions de la loi sur le Grenelle de l’environnement - et au programme d’urbanisation massive de l’Ile Seguin (11 hectares) prévoyant cinq tours de bureaux aux hauteurs illimitées !
Conséquences redoutées : atteintes majeures à l’environnement, modification radicale de la ligne de crête des immeubles dans le paysage face aux monuments et perspectives classés.
A plusieurs reprises, la Mission regionale de l'autorité Environnementale(MRAe) alerte :
"En revanche, pour l’île Seguin, le dossier présente l’évolution du parti d’aménagement entre 2009 et 2012 (pages 35-36) mais ne propose pas de justification argumentée du projet actuellement retenu. Pour un projet d’une telle ampleur sur un site remarquable, la fermeture de la partie centrale et sa vocation entièrement tertiaire est susceptible d’avoir des impacts sur l’environnement.
Pour en savoir plus cliquez ici : Avis de la MRAe du 14 décembre 2018